lundi 2 mai 2011

Belle Gunness : la première tueuse en série des Etats-Unis

Par Philippe Chassaigne aux éditions Larousse


L'Histoire :

Le 28 avril 1908, entre 4 et 5 heures du matin, un violent incendie détruit une ferme située périphérie de La Porte, petite ville de l'Indiana. En fin d'après-midi, on en dégage le corps calciné de deux fillettes et d'une femme, tenant un petit garçon dans ses bras. 
À l'évidence, la propriétaire des lieux, Belle Gunness, a péri dans les flammes avec ses trois enfants. Mais pourquoi son cadavre a-t-il la tête coupée... et où est donc la tête ? 

Ce ne sera toutefois pas la seule question à laquelle de shérif Smutzer devra tenter de répondre. En fouillant les décombres de la ferme, on y découvre de nombreuses fosses. Et dedans, des cadavres ! 
L'enquête se resserre alors sur Belle Gunness, de son vrai nom Brynhild : ses origines norvégiennes et pauvres, sa soif d'argent, ses deux veuvages suspects, son talents à piéger ses proies comme une araignée dans sa toile ! Entre 12 et 18 victimes  avérées et 40 supposées... 

Belle Gunness : l'incroyable périple assassin de la première tueuse en série des Etats-Unis.

L'arche de Noé


L'histoire de Noé racontée aux tout-petits par Susanne Göhlich aux éditions Nord Sud.




L'histoire :


Il fut un temps où les hommes étaient devenus si mauvais que Dieu décida de faire tomber un déluge sur la Terre pour y détruire toute vie. Mais un homme trouva grâce aux yeux de Dieu : Noé. Dieu lui ordonna de construire une grande arche, afin de sauver sa famille et un couple de chaque espèce d’animaux. Il plut pendant des jours, les eaux montèrent tant que les montagnes furent englouties. Seule l’arche survécut au déluge. Dieu promit alors de ne plus jamais détruire la vie sur Terre.





Mon point de vue :

Un livre en carton très maniable pour les tout-petits. Une histoire de la bible tout en images pour le plaisir des enfants.

Dans une version fidèle au texte biblique (Genèse, chapitre 6), l’épisode de l’arche de Noé est ici retracé avec des mots simples adaptés aux jeunes lecteurs.

le joyeux défilé d’animaux montant à bord du bateau et apprendront à reconnaître et à nommer toutes les espèces.
De son trait simple et vif, qui rappelle la bande dessinée, Susanne Göhlich nous offre une vision résolument moderne de ce texte incontournable. Ses illustrations très fraîches aux couleurs vitaminées
enchanteront les enfants.




L'illustratrice :

Susanne Göhlich, est une illustratrice allemande de 38 ans, qui vit à Leipzig. C’est au cours de ses études en histoire de l’art qu’elle a commencé à s’initier au dessin, et dès lors elle n’a plus jamais quitté ses crayons et ses pinceaux ! Elle illustre des albums pour la jeunesse et crée aussi des articles de papeterie.


jeudi 28 avril 2011

Les trois chemins sous les mers

Lewis Trondheim et Sergio Garcia aux éditions Mille bulles de l'école des loisirs.


Présentation de l'éditeur :

Voilà qui commence mal ! Un marin doit partir à la pêche mais il a le mal de mer. Sous l'eau, une jeune pieuvre doit rejoindre sa mère mais elle a peur des poissons. Un scaphandrier amateur vient découvrir les merveilles des fonds marins, mais il n'y découvre que poubelles et détritus. Pourtant, au hasard des rencontres, leurs destins basculent..


Une bande-dessinée originale...

Ma première Histoire de France

Quatrième de couverture :

Une initiation à l'Histoire de France par l'image. En 32 tableaux, cette superbe fresque destinée aux jeunes enfants, présente les événements majeurs et les personnages importants de notre Histoire.


Mon avis :

Un livre illustré par Pierre Probst aux éditions du Triomphe

Un magnifique album avec de belles illustrations pour initier les enfants à l'Histoire.   

De la Préhistoire, à la Libération de 1945 ; en passant par Clovis, Saint-Louis, Philippe Auguste et la Révolution Française...  et tant d'autres histoires clés de l'Histoire de France.

Deux petits pas sur le sable mouillé

Deux petites nattes blondes sur une tête toute ronde, une robe de couleur pâle, une fillette qui fait ses premiers pas sur le sable mouillé... La mer en fond. 


Thaïs est une petite fille gaie et insouciante. Le jour de ses deux ans, ses parents apprennent qu'elle est atteinte d'un mal incurable. 




Le témoignage d'une mère de trois enfants, dont deux sont atteintes d'une maladie dégénérative incurable. Anne-Dauphine Julliand nous livre son combat de tous les jours face à la maladie, à la mort inévitable de Thaïs, sa fillette de deux ans. Enceinte de six mois et déjà mère de deux enfants, Anne-Dauphine apprend que l'enfant qu'elle attends peut lui aussi être atteint. Une chance sur quatre que l'enfant qu'elle attends soit aussi atteint. Avec son mari, ils décident de garder ce bébé coûte que coûte. Alors que les premiers symptômes de la maladie de Thaïs se manifestent, Azylis naît. Mais Azylis est malade elle aussi. A à peine quelques jours, elle doit, pour survivre, subir une greffe de la moelle osseuse. 


Une incroyable leçon de courage !



Dernière de couverture : 

L'histoire commence sur une plage, quand Anne-Dauphine remarque que sa petite fille marche d'un pas un peu hésitant, son pied pointant vers l'extérieur. Après une série d'examens, les médecins découvrent que Thaïs est atteinte d'une maladie génétique orpheline. Elle vient de fêter ses deux ans et il ne lui reste plus que quelques mois à vivre. Alors l'auteur fait une promesse à sa fille : " Tu vas avoir une belle vie. Pas une vie comme les autres petites filles, mais une vie dont tu pourras être fière. Et où tu ne manqueras jamais d'amour. ". Ce livre raconte l'histoire de cette promesse et la beauté de cet amour. Tout ce qu'un couple, une famille, des amis, une nounou sont capables de mobiliser et de donner. Il faut ajouter de la vie aux jours, lorsqu'on ne peut plus ajouter de jours à la vie.







« Vous allez découvrir une histoire déchirante. Celle d’une petite fille adorable, atteinte d’une maladie au nom barbare, incurable. Elle est née un 29 février. Parviendra-t-elle à fêter son premier anniversaire, quatre ans après sa naissance ? Bel hommage d’une maman, Anne-Dauphine Julliand, à sa petite Thaïs qui nous laisse deux petits pas sur le sable mouillé... Et un immense besoin de tendresse. »
Patrick Poivre d'Arvor

lundi 18 avril 2011

Biographie Victor Hugo


Victor Hugo, comme l'on peut facilement s'en douter, s'est beaucoup inspiré de sa vie, et en particulier de son enfance pour écrire ses poèmes et ses romans. Ainsi que de son histoire d'amour avec Adèle Foucher, sa femme.


Né en 1802, son enfance ne fut pas des plus stable. Très vite après sa naissance, son père prend une maîtresse et déserte le domicile familiale. Sa mère se retrouve seule avec ses enfants à élever. De dispute en réconciliation, les époux Hugo n'auront cesse de se séparer et de se raccommoder. Jusqu'à ce que Léopold Hugo le père de Victor, décide de s'afficher en public avec sa maîtresse, Juliette, avec laquelle il restera  pendant plus de cinquante ans. Durant son enfance, les enfants Hugo, notamment Victor et son aîné Ed ne vont cesser de changer de domicile. Le père les veut en pension, la mère avec elle. Très tôt, Victor fait preuve d'une grande maturité littéraire et écrit ses premiers poèmes.

Alors qu'ils habitent au numéro 10 de la rue de Mézière, à Paris, Sophie, la mère, meure. Lorsque Victor l'apprend à son père, celui-ci lui répond en lui faisant parvenir son faire-part de mariage avec sa maîtresse. 

Amoureux depuis son adolescence d'Adèle, jeune voisine, Victor doit attendre longtemps avant de l'épouser. Leurs parents respectifs s'étant fachés. En Octobre 1822, à vingt ans à peine, Victor épouse Adèle en l'église Saint-Suplice. Quelques mois après né Léopold Hugo, qui ne vivra que quelques mois. Plus tard viendra Léopoldine, puis Charles, François - Victor et Adèle... Après cinq grossesse, lassée de n'être là que pour s'occuper de sa progéniture et veiller au confort de l'artiste, Adèle met un terme à sa relation avec Victor. Ils resteront néanmoins toujours en bons termes. 

De drames en déconvenues, la vie de Victor Hugo ne fut pas des plus belle. Mais il réussi à laisser derrière lui d'importantes oeuvres que des milliers de générations liront et admireront. 

Voici la triste vie de ce talentueux écrivain.

Un peu rébarbatif par moment mais très instructif !

dimanche 17 avril 2011

Je m'appelle Elisabeth

Je m'appelle Elisabeth, un roman de Anne Wiazemsky aux éditions Folio. 
«Betty sursauta. Cette fois, elle était sûre d'avoir entendu crisser le gravier. Quelqu'un se déplaçait le long du mur de la villa, se rapprochait de sa chambre. Du salon, la radio toujours allumée diffusait les accords de harpe qui annonçaient le début de l'émission Le Masque et la Plume. Betty, alors, se leva et se dirigea vers la fenêtre avec le sentiment précis qu'une chose horrible l'y attendait. Elle ne se trompait pas. Posée sur le rebord, la tête décapitée d'un écureuil la regardait.»


Présentation de l'éditeur :

La vie de Betty, douze ans, se transforme le jour où elle rencontre Yvon, un malade échappé de l'hôpital psychiatrique. Elle décide de le protéger et le cache dans sa cabane. Elle ose, mue par un appel mystérieux vers " une autre vie ", défier l'autorité paternelle, braver la police et transgresser les règles.


L'auteur :

Anne Wiazemsky a publié des nouvelles, Des filles bien élevées (Grand Prix de la nouvelle de la Société des Gens de Lettres, 1988), et des romans, Mon beau navire (1989), Marimé (1991) et Canines (prix Goncourt des lycéens, 1993).
Elle a reçu le Grand Prix de l'Académie française en 1998 pour Une poignée de gens. En 2001, paraît Aux quatre coins du monde et en 2002, Sept garçons.
 Récemment, elle a écrit Mon enfant de Berlin


Il existe une adaptation cinématographique du roman de Anne Wiazemsky (petite-fille de François Mauriac) par Jean-Pierre Améris. 

mercredi 13 avril 2011

Le roman vrai de la prostitution infantile en Inde

Le Cahier bleu, un roman de James A. Levine aux éditions Pocket. 


Résumé :


Batuk, petite Indienne du Madya Pradesh, n'a que neuf ans à peine quand elle est vendue par son

père à un proxénète de Bombay. A quinze ans, armée d'un crayon tombé de l'oreille de sa tenancière
qu'elle a subtilisé, Batuk confie secrètement à un cahier bleu le quotidien épouvantable de l'esclavage sexuel dans lequel elle est maintenue sur Common Street, mais aussi les souvenirs réconfortants de sa petite enfance paisible. Dans ce journal intime et désespéré, Batuk consigne également les contes fantastiques nés de son imagination dont le héros est souvent Puneet, un petit garçon encagé au-dessous d'elle… Leur amitié et leur solidarité sauront-elles forcer leur destin et venir à bout du cauchemar de leurs fragiles petites existences ?


Mon point de vue :

Un beau roman, fragile et sensible, qui raconte la vie d'une petite fillette vendue par son père pour seulement quelques roupies à un proxénète de Bombay. Dans son cahier bleu, la petite Batuk cherche par tous les moyens à s'évader de sa vie quotidienne, de la réalité de la prostitution. Elle s'invente des rêves d'enfants : de prince et de princesse... 

Un merveilleux témoignage sur la prostitution infantile et les dégâts qu'elle cause sur des si petites filles. 

Un roman poignant, qui bouleverse notre manière de voir les hommes. Un livre qui dénonce avec simplicité l'esclavage sexuel, ainsi que l'horreur subit par des milliers de jeunes filles et de garçons dans le monde, bien souvent encore des enfants. Une réalité dans encore beaucoup de pays dont on devrait tous avoir conscience... 

Pour ceux qui veulent un aspect plus théorique sur le sujet, lisez Enquête sur l'esclavage sexuel dans le monde. 

lundi 11 avril 2011

Une (surprenante) lettre d'amour

Ci dessous, une lettre écrite par George Sand à son amant Alfred de Musset. 


Je suis très émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
là une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à vous montrer mon
affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir aussi
vous dévoiler sans artifice mon âme
toute nue, venez me faire une visite.
Nous causerons en amis, franchement.
Je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde comme la plus étroite
en amitié, en un mot la meilleure preuve
dont vous puissiez rêver, puisque votre
âme est libre. Pensez que la solitude où j'ha-
bite est bien longue, bien dure et souvent
difficile. Ainsi en y songeant j'ai l'âme
grosse. Accourrez donc vite et venez me la
faire oublier par l'amour où je veux me
mettre.
George Sand


Maintenant, et si vous lisiez une ligne sur  deux ?

vendredi 1 avril 2011

Tasha de Vasconcelos

La beauté comme une arme, par Tasha de Vasconcelos aux éditions Michel Lafon.




Quatrième de couverture :




À huit ans, elle a fui le Mozambique ravagé par la guerre civile. À quatorze, elle doit quitter la Rhodésie où son grand-père vient d’être assassiné par les rebelles. Dix années d’exil plus tard, elle est l’un des quinze mannequins les plus célèbres de la planète. Tous les hommes sont à ses pieds. Kevin Costner lui apporte son petit déjeuner au lit, Ted Kennedy lui fait des confidences, le prince Charles lui demande de défiler pour lui seul et le prince Albert de Monaco est devenu son ami. 


Un conte de fées ? C’est vite dit. Le monde de la mode est dangereux et cruel : jalousies, humiliations, chantage, alcool, drogue… Tasha résiste à tout, sauf qu’elle crève de faim ! N’en peut plus de n’être qu’un fantasme, se sent seule, cherche les vrais chemins du cœur.


Elle les trouvera dans son Afrique natale, jamais oubliée, au milieu de la misère. Dès lors, elle donne enfin un sens à sa vie, rassemble des fonds pour prendre en charge les mères séropositives et leurs bébés, crée pour eux une clinique au Malawi. Et ce n’est qu’un début… Échappant à la dictature de l’image, elle utilise désormais sa beauté comme une arme. 


Mon point de vue :

Un brin de prétention dans le personnage, mais peut-on lui reprocher ? Cela peut dérouter, au début, mais on passe vite outre. On se laisse gagner par la vie de cette jeune femme...


Son père est portugais, sa mère britannique, Sandra, plus tard appelée Tasha, naît à Beira au Mozambique. Elle passe son enfance en Afrique. En exil au Canada, elle se fait repérer par l'agence de mannequin Elite. Au fil des contrats, elle deviendra l'une des mannequin les plus célèbre. Mais cela ne lui suffit pas. Elle trouve son existence futile. C'est alors qu'elle va se lancer dans l'humanitaire.


Catholique, elle parle beaucoup de sa foi et la défend. Au fil de ses descriptions, l'envie de découvrir l'Afrique nous prends et ne nous lâche plus. 


Un roman témoignage sur la vie d'une mannequin pas comme les autres, prude et très religieuse, à cheval sur les bonnes manières et pour qui l'honneur de la famille et de son pays -l'Afrique- prime avant tout !


L'inutile beauté - Mouche - Le noyé

L'inutile beauté, suivie des nouvelles Mouche et Le noyé, par Guy de Maupassant aux éditions de l'Herne.

"L’inutile beauté est la nouvelle la plus rare que j’aie jamais faite", écrit Maupassant en 1890. C’est que cette nouvelle est un condensé des thèmes maupassantiens : la difficulté de la coexistence des sexes et la puissance du doute qui envahit les rapports humains,  l’inquiétante étrangeté des figures de la maternité, l’incertitude de la paternité, enfin et surtout, l’énigme de la femme.

L’inutile beauté se signale d’emblée par sa singularité. Le récit rompt avec ce que Maupassant avait pu concevoir jusque là. Au rebours des images de femmes rusées, ou encore de personnages victimes, la nouvelle a pour héroïne une femme qui prend sa vie en main et affirme des choix en décalage avec la conscience collective et avec les rôles qu’elle impose. L’image de la femme offerte par cette nouvelle est une sorte de déferlante sociale et humaine dont la comtesse de Mascaret est l’initiatrice. L’inutile beauté met au premier plan la crise du couple, une nouvelle image de la femme et de l’homme.




L'histoire(s) :


Trois nouvelles, trois histoires. L'inutile beauté met en scène un couple, dont la femme, véritable beauté malgré ses sept grossesses, ne supporte plus la manière de son mari de la protéger des hommes. Ou de se la garder, devrait-on dire... L'engrosser, voilà tout ce qu'il a trouvé ! Pour l'éloigner de sa couche et cesser d'être enceinte, la comtesse de Mascaret va révéler à son mari un terrible secret...


Mouche, la deuxième nouvelle de ce recueil, est plus courte que la première. Mouche, c'est le surnom donné par les cinq canotiers à cette "petite créature fluette, vive, sautillante, blagueuse et pleine de drôlerie, de cette drôlerie qui tient lieu d'esprit aux titis mâles et femelles éclos sur le pavé de Paris. Elle était gentille, pas jolie, une ébauche de femme où il y avait de tout, une de ses silhouettes que les dessinateurs crayonnent en trois traits sur une nappe de café après dîner entre un verre d'eau-de-vie et une cigarette." Mouche, c'est l'histoire de cette femme et de sa drôle de relation avec les cinq canotiers.


Le noyé est la dernière des nouvelles. C'est la vie de la mère Pantin, une brave femme de Fécamp, battu par son mari "comme on bat le blé dans les granges." Pantin est un de ses matelot bon, mais brutal. Sa femme en fait les frais. Le jour où son mari disparaît en mer, elle n'en ai pas moins tranquille et ne cesse de redouter qu'il revienne




Mon point de vue :


Je ne vais pas refaire l'éloge de ces carnets, mais je n'en pense pas moins. Ils permettent de découvrir de célèbres auteurs dont nous ne lirions pas forcement les oeuvres intégrales. Ainsi que des textes inédits...


L'inutile beauté, Mouche, et Le noyé n'ont rien a voir avec le style habituel de Maupassant. Facile à lire par l'aspect très succincts des nouvelles, détendant par l'humour qui s'en dégage, ce recueil de nouvelles est à lire absolument !